En fin de CV : des centres d’intérêt anecdotiques ?
Ces activités non professionnelles citées discrètement en fin de CV paraissent tellement secondaires, et pourtant …
Olivier joue de la guitare depuis l’âge de 5 ans. Grâce à la musique, il a pu développer sa sensibilité, et découvrir le plaisir de jouer en petit ensemble avec d’autres musiciens, après quelques mois de répétition. Il ne craint plus de se produire en public et, dans un groupe de jeunes, on lui demande souvent d’accompagner quelques chansons.
Emilie a pratiqué la gymnastique en compétition pendant plusieurs années ; ses coachs avaient salué la cohésion particulière de son équipe. Elle a désormais le goût des défis et a appris à se relever après un échec, à en faire une force. La pratique sportive, même modeste, contribue toujours à son équilibre.
Activités culturelles ou sportives, engagements associatifs divers : ils témoignent des richesses de la personnalité, et permettent de déployer des talents forts utiles dans le monde du travail, comme la créativité, la confiance en soi, la capacité à coopérer.
Ces pratiques de loisir expriment aussi une forme de gratuité, et se révèlent des ressources très précieuses, particulièrement en cas de crise ou de difficultés. De nombreux parents tiennent d’ailleurs à ce que leurs enfants participent à ces activités « extra scolaires ».
Qu’en pensez-vous ? Qu’est ce qui vous ressource, vous fait rêver ? Qu’avez- vous appris d’essentiel grâce à votre passion ?